Les Diablogues de Roland Duvillard – Comédie des Champs – Élysées
Les Diablogues de Roland Duvillard – Comédie des Champs – Élysées De Roland Duvillard Mise en scène de Gil Lefeuvre Avec Olivier Saladin et Olivier Broche Du 20 septembre au 30 décembre 2017 à 20h30 Tarifs : de 20€ à 40€ Réservation en ligne ou par tél. au 01.53.23.99.19 Théâtre des Champs – Élysées |
Du 20 septembre au 30 décembre 2017 Des dialogues parfois délirants, quelquefois absurdes, dont la seule prétention est de faire rire avec légèreté et sans bêtise. « Je suis un auteur comique. Il faut toujours que je le dise car les gens ne le croient pas » R. Dubillard Présentation Bienvenue dans l’univers des Diablogues, distillerie de l’absurde. Prenez « UN » et « DEUX », rajoutez-y des discussions sur des situations de tous les jours (La pluie, Le compte-gouttes, une leçon de piano…), un zeste d’étrange et une pincée de jeu de mots. Mixez le tout et vous obtiendrez un mélange poétiquement drôle, savamment déjanté, conduit par un duo de « Monstres sacrés », Olivier Saladin et Olivier Broche, qui en toute légèreté, nous transportent dans l’univers surréaliste et jubilatoire de Roland Dubillard. La distribution en quelques mots… Olivier Saladin A Rouen, Il fait ses premiers pas sur scène au Théâtre des Deux Rives. Puis, Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff lui font intégrer leur troupe, Les Deschiens. Il jouera dans de nombreuses pièces comme Lapin-Chasseur, Les Pieds dans l’eau, Le Défilé, Les Précieuses Ridicules. Diffusé sur Canal+ de 1993 à 2000, Les Deschiens deviennent un véritable phénomène. II interprète des rôles principaux tels que Un Coeur attaché sous la lune de Serge Valetti (mise en scène de Bernard Lévy), Une visite inopportune de Copi (mise en scène de Yann Dacosta) sans oublier Violette sur la Terre de Carole Fréchette (mise en scène de Maxime Leroux). Présent aussi au Cinéma (Bienvenue chez les Rozes de Francis Palluau, Bienvenue au Gîte de Claude Duty ou encore Les poupées russes de Cédric Klapisch), Olivier Saladin prête sa voix au film d’animation Astérix et le domaine des dieux (réalisateur : Alexandre Astier et Louis Clichy). Il a joué avec succès dans « Ancien malade des hôpitaux de Paris » de Daniel Pennac au Théâtre de l’Atelier, mis en scène par Benjamin Guillard. Olivier Broche Olivier Broche rejoint de 1992 à 2003 la compagnie Deschamps et participe aux Deschiens sur Canal+. En 2011, il coécrit avec François Morel, la pièce Instants Critiques qu‘il interprète. Au Cinéma et à la Télévision, il tourne pour Cédric Klapisch, Coline Serreau, Manuel Poirier, Romain Goupil, Tonie Marshall, Philippe Le Guay… Associé à François Magal, il produit des courts métrages dont deux sont présentés en sélection officielle hors compétition au Festival de Cannes (Cindy, the Doll is mine de Bertrand Bonello, Les Signes de Eugène Green). Depuis 2009, il est conseiller artistique cinéma à La Comète où il présente régulièrement des films. En 2015, Il joue dans L’or et la paille de Barillet et Grédy mis en scène par Jeanne Herry. Il est actuellement au Théâtre de la Pépinière Moi et François Mitterand de Hervé Le Tellier, mis en scène par Benjamin Guillard. Roland Dubillard, auteur Ecrivain, dramaturge et homme de radio français disparu en 2011, Roland Dubillard fut l’auteur de nombreuses pièces de théâtre, nouvelles, recueils de poésies, essais ou encore scénarios. Titillant souvent l’absurde de manière subtile, il est le créateur d’un monde ou l’étrange casse les frontières de l’ordinaire. Au début des années 50, Roland Dubillard, surnommé « l’effaré prodigieux » , va s’inscrire dans cette génération que l’on identifie comme « Théâtre de l’absurde » et que l’on associe souvent à Beckett ou Ionesco. Dès 1947, il réalise ses premières nouvelles radiophoniques : des petits sketches mettant en scène deux personnages, Grégoire (joué par Dubillard) et Amédée (Philippe de Chérisey). Ces textes deviendront les Diablogues, publiés en 1975, merveilles de poésie sur le non sens de la vie. En 2008, il est récompensé par le Molière de l’auteur francophone vivant pour les Diablogues. Gil Lefeuvre, metteur en scène Metteur en scène d’auteurs contemporains principalement : Yvonne, princesse de Bourgogne de Witold Gombrowicz, Dissonances de Michel Azama, La force de l’habitude de Thomas Bernhard, Visites de Jon Fosse, Il crée aussi Petits personnages. Après deux ans au TGP avec Stanislas Nordey, avec lequel il joue Porcherie de Pasolini, Il crée Ball-trap de Xavier Durringer au Portugal, avec l’Alliance française et les Artistas Unidos. Après avoir monté une trilogie autour de l’œuvre de Jean-Luc Lagarce – Les règles du savoir-vivre dans la société moderne (2003), Histoire d’amour (2004) et Juste la fin du monde (2007)-, il adapte les romans Texaco de Patrick Chamoiseau (2007) et Visage retrouvé de Wajdi Mouawad (2010). Il réalise deux courts métrages : Adèle et Aller-retour, et a collaboré auprès de Larry Clark sur le film The Smell of us. Dernièrement, il a mis en scène Matthieu Penchinat dans le spectacle Seul comme un grand. Il enseigne au Conservatoire de Bordeaux et à l’ISADAC au Maroc. [Sources : © communiqué de presse] |
Articles liés
La Nouvelle Seine présente Dena Vahdani dans son spectacle ” Dena – Princesse Guerrière”
Un pied à Bruxelles, un pied en Flandre et le cœur en Iran. Dena, c’est 100.000 watts d’énergie positive ! D’origine iranienne, cette jeune femme navigue entre deux cultures, entre Orient et Occident, avec énormément d’humour, d’autodérision, de tendresse...
Charlotte Desloins dans “Salle d’attente” à la Nouvelle Seine
Salle D’attente est un seule en scène en 5 actes où chaque acte représente une séance chez un thérapeute et où on suit l’évolution de la dépression du personnage. Sur scène, Charlotte raconte avec humour ce qui nous émeut....
“Quand je serai grande, je serai Patrick Swayze” le premier seule-en scène de Chloé Oliveres
Après avoir confondé la compagnie des Filles de Simone, Chloé Oliveres, époustouflante de présence et de bagout, se lance dans son premier seule-en scène. Elle s’empare du plateau et y rejoue ses amours réelles et imaginaires, avec beaucoup d’autodérision, le...